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 Hubertine Auclert - Les Femmes Arabes en Algerie

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MessageSujet: Hubertine Auclert - Les Femmes Arabes en Algerie    Hubertine Auclert - Les Femmes Arabes en Algerie  I_icon_minitimeSam 04 Déc 2010, 00:26

Hubertine Auclert - Les Femmes Arabes en Algerie  Hubertine+Auclert+-+Les+Femmes+Arabes+en+Algerie

Le mariage arabe est un viol d’enfant

Certes, Français et Arabes diffèrent d’habitudes et de moeurs. Si consommer le mariage avec une fillette impubère est chez les Français un crime, c’est chez les Arabes une coutume; aussi, les petites Arabes se marient-elles à l’âge où les petites Françaises jouent seulement à la mariée.



En suivant d’un oeil impatient les évolutions enfantines de leurs filles, les pères musulmans calculent ce qu’elles vaudront de douros : car, contrairement aux Français qui ne consentent à se marier qu’avec une femme qui leur apporte de l’argent, les Arabes sont, eux, obligés d’en donner pour pouvoir épouser. Ce qui constitue le mariage musulman, ce qui le rend valable, c’est la dot versée par l’époux comme prix d’achat de la femme.

Dans les villes, la dot de la femme se calcule en argent (en douros), sous la tente en troupeaux de moutons, en chameaux, en palmiers. Dans des oasis du Sahara, le douaire de la femme noire ne consiste guère qu’en bijoux, ceintures, coupons de tulle et de cotonnade.

Une femme du commun, se vend de trente à cinquante francs. Une femme qui sait tisser les burnous est payée de trois, à huit cents francs. À douze ans une femme est estimée pour sa figure, à vingt ans pour son savoir-faire.

Aux premiers temps de l’occupation, les femmes arabes gardées en otage étaient échangées contre des chevaux, ou vendues à l’enchère comme des bêtes de somme. Autrefois aussi, en Grèce, on troquait les femmes contre des boeufs. C’est pour cela qu’elles sont appelées dans l’Iliade « Trouveuses de boeufs ».

Dans le Sud africain, le sexe féminin tient au même titre que les perles, lieu d’argent; de même en Asie. Dans l’Afghanistan on compense encore un meurtre, par la livraison de plusieurs jeunes filles et une blessure par la livraison d’une femme.

Une fillette est, suivant sa gentillesse et le rang de sa famille, payée de trois cents francs à mille francs. Les acquéreurs se disputent les musulmanes qui exercent
les fonctions d’institutrices (monitrices) et les paient de mille à trois mille francs.

Plus les petites Arabes sont jolies, plus elles sont certaines d’être achetées par un vieux mari auquel sa position permet de les payer très cher. La vente des musulmanes donne lieu à un marchandage, entre le père et le futur époux. L’objet du litige, la femme, n’est mise au courant de l’affaire que quand elle est conclue.

Il y a des gamines de sept ans qui tirent à la bûche pour savoir auquel des hommes qui les ont payées, elles devront appartenir. Ceci prouve que dans le commerce des femmes, la mauvaise foi n’est pas exclue.

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