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| Sujet: Tassadit Ould Hamouda Mer 14 Jan 2009, 03:27 | |
| | JE TIENS À TOI | <table cellSpacing=0 cellPadding=12 align=center border=1><tr><td> Malgré tout ce qui nous sépare Malgré tes sentiments avares Malgré ton caractère fuyard, JE TIENS À TOI. Malgré la grisaille de ton humeur Malgré la dureté de ton coeur Malgré que je sais que tout est leurre, JE TIENS À TOI. Malgré ton comportement négatif Devant toi, je me sens fautive Malgré tes réponses hâtives, JE TIENS À TOI. JE TIENS À TOI AUTANT QUE L'ÉTÉ TIENT À SON SOLEIL JE TIENS À TOI AUTANT QUE LE PRINTEMPS TIENT À SES FLEURS JE TIENS À TOI AUTANT QUE L'HIVER TIENT À SA PLUIE JE TIENS À TOI, MALGRÉ QUE MON AMOUR RESTERA COMME CES FEUILLES MORTES DE L'AUTOMNE. Tassadit Ould Hamouda </TD></TR></TABLE>
<table cellSpacing=0 cellPadding=12 width="100%" align=center border=0><tr><td vAlign=top align=middle></TD></TR> <TR> <td align=middle> MERCI QUÉBEC </TD></TR> <TR> <td vAlign=top align=middle> <table cellSpacing=0 cellPadding=12 align=center border=1><tr><td> Tu m'as ouvert les bras Tu m'as accueillie Sans me connaître, Tu m'as dit " Bienvenue " Québec, ma 2ème Patrie De tout cœur, je te dis " MERCI " Venue de nulle part J'étais désorientée Ton accueil chaleureux M'a réconforté Tu m'as redonné l'espoir Alors que je l'avais perdu De tout cœur, je te dis " MERCI " Heureuse de vivre en paix dans ce beau pays Où nul ne se sent étranger Un peuple fier de sa diversité Où chacun retrouve dignité et respect A Gatineau ou en Gaspésie A Montréal ou à Granby Je me sens chez moi partout où je vais québécoise, fière, je le suis devenue Tout en gardant au fond de moi mon originalité Québec, mon pays, je te remercie Tassadit Ould Hamouda </TD></TR></TABLE></TD></TR></TABLE> <table cellSpacing=0 cellPadding=12 width="100%" align=center border=0><tr><td align=middle> NOTRE JEUNESSE </TD></TR> <TR> <td vAlign=top align=middle> <table cellSpacing=0 cellPadding=12 align=center border=1><tr><td> Elle s'envole à toute vitesse et part sans laisser d'adresse nous laissant dans la tristesse Notre si belle Jeunesse Vers l'âge adulte, on se presse pour vanter toutes nos prouesses mais on oublie la vieillesse qui s'amène sans délicatesse Nous ôter cette grande richesse La vie nous vole des jours sans cesse et nous vieillit avec rudesse Visages las, que les rides traversent on se réveille, on court, on s'empresse Saisir les chances que nous offre son "Altesse" quelques règles, on transgresse Pour revivre quelques moments d'ivresse Et profiter encore de ses largesses Notre belle jeunesse Tassadit Ould Hamouda </TD></TR></TABLE></TD></TR></TABLE> |
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| Sujet: Re: Tassadit Ould Hamouda Mer 14 Jan 2009, 03:38 | |
| LA MORT | <table cellSpacing=0 cellPadding=12 align=center border=1><tr><td> Elle vient sans crier gare Que l'on soit jeune ou vieillard Que l'on soit généreux ou avare Que l'on soit malhonnête ou sans tare Elle nous ôte la vie sans retard Et nous embarque dans ses amarres De cette traîtresse, on a une peur bleue Quand on la sent proche, on supplie "Dieu" De nous laisser en vie, ne serait-ce que peu En lui promettant de devenir pieux Faire du bien et vivre mieux Quand l'heure arrive, l'arrêter ? Nul ne le peut. Que c'est triste de partir un jour sans le savoir Quitter nos enfants, notre famille sans jamais les revoir Quitter notre maison, construite avec pleins d'espoirs Laisser tout et partir, sans dire au revoir Le fait d'y penser, nous plonge dans le désespoir Quitter ceux qu'on aime, est la pire chose à voir Tassadit Ould Hamouda </TD></TR></TABLE>
| LE PRINTEMPS | <table cellSpacing=0 cellPadding=12 align=center border=1><tr><td> J'adore aller dans notre champ Lorsque arrive le printemps Tout est si beau et impressionnant Les marguerites, les roses et les bourgeons Sous un soleil rayonnant Les enfants courent en chantant Vive le Printemps ! Les coquelicots rouges forment un lit Les arbres en feuilles sont fleuris Des poiriers, des pruniers, des cerisiers Nous donnent une joie pleine de tranquillité Les oiseaux gazouillent dans leurs nids Le printemps est là, il est arrivé. Un ruisseau résonne doucement Une eau claire et fraîche coule lentement Regarder les collines et les monts Il n y a point de tableau aussi fascinant Le Djurdjura autour, toujours Imposant Vivre dans ce décor est si exaltant. Tassadit Ould Hamouda </TD></TR></TABLE> | MA POÉSIE | <table cellSpacing=0 cellPadding=12 align=center border=1><tr><td> Sans le vouloir, je t'ai délaissée..... Alors que tu étais ma véritable amie Je t'ai mise de côté et presque archivée Alors qu'il n' y a que toi, pour me soulager. Je t'ai confié mes peines, mes joies et mes secrets Tu étais là pour moi, sans jamais rechigner Tu m'écoutais sans te plaindre, malgré la gravité du problème ou de l'aveu, sans jamais me juger. Tes petites phrases douces, me font espérer Une vie meilleure et pleine de gaieté Quand la tristesse est en moi pour me tarauder Tu as toujours été là, pour me réconforter. À partir de ce jour, tu seras ma priorité. Je t'écrirai et te lirai sans jamais me lasser Tassadit Ould Hamouda </TD></TR></TABLE>
| MON VILLAGE | <table cellSpacing=0 cellPadding=12 align=center border=1><tr><td> On le voit de tous les horizons Perché sur une colline, entouré de monts Plus on se rapproche, (plus) il est fascinant Il est si beau et impressionnant Le village de mon père et de mes grands parents Il est tellement loin, il me manque tant. Je garde encore en moi, les souvenirs d'été où soeurs, frères, cousins, la famille réunie Dans la cour, à l'air pur, on restait pour veiller Se raconter des blagues, discussions infinies des rires, des chants, des "ourars", on improvisait C'était le bon temps, qui ne reviendra jamais. Je le revois encore en hiver, enneigé Sous un manteau blanc, ses arbres alourdis Le Djurdjura autour, lui donnant ses reflets Les ravins, les rivières, au bas à son chevet Ce beau panorama n'existe dans nul pays Je donnerai cher pour le retrouver. Tassadit Ould Hamouda </TD></TR></TABLE> | HIER ENCORE | <table cellSpacing=0 cellPadding=12 align=center border=1><tr><td> Hier encore, Je n étais qu'une enfant Heureuse auprès de mes parents qui m'élevaient en me gâtant Je n'avais que 20 ans Hier encore, Je croquais la vie à pleines dents Profitais des moments En sortant et (en) m'amusant Je n'avais que vingt ans Hier encore, hier encore, je n'avais que vingt ans - vingt ans Hier encore, j'avais ma jeunesse en prime je dansais et chantais en rime sous un ciel bleu sans brume je n'avais que vingt ans Hier encore, je n'avais aucune amertume je jouissais de la vie sublime (j'étais) dans le vent comme une plume Je n'avais que vingt ans Hier encore, c'était ma première passion............ Inspirée de la chanson de El Hachemi Guerouabi " El-Barah " Tassadit Ould Hamouda </TD></TR></TABLE> |
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