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 الثورة التونسية

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MessageSujet: الثورة التونسية   الثورة التونسية I_icon_minitimeMar 18 Jan 2011, 21:59

le gouvernement d'union nationale explose déjà


Quatre ministres ont démissionné. Le président tunisien par intérim, Foued Mebazzaa, et son Premier ministre, Mohammed Ghannouchi, quittent le parti de Ben Ali.
Vingt-quatre à peine après sa création, le nouveau gouvernement d'union nationale tunisien a volé en éclat. Démissions et manifestations ont rythmé la journée du 18 janvier. De nombreuses voix se sont, en effet, élevées, notamment au sein de la gauche et de la mouvance islamiste contre la présence de membres de l'ancien gouvernement du président déchu Ben Ali dans la nouvelle équipe de transition formée lundi. D'abord, ce sont trois ministres, membres du syndicat UGTT (Union générale des travailleurs tunisiens), qui ont annoncé leur démission du nouveau gouvernement à l'appel de leur parti. Anouar Ben Gueddour a indiqué dans l'après-midi qu'il avait démissionné en compagnie de Houssine Dimassi, ministre de la Formation et de l'emploi, et d'Abdeljelil Bédoui, ministre auprès du Premier ministre. La puissante centrale syndicale tunisienne UGTT a joué un grand rôle dans les manifestations. Elle a affirmé qu'elle ne reconnaissait pas le nouveau gouvernement.

Suspension de la participation du FDLT

Peu après ces départs, c'est le Forum démocratique pour le travail et les liberté (FDLT) qui a annoncé la suspension de sa participation dans le gouvernement d'union nationale où il avait un ministère. Le chef du parti, Mustapha Ben Jaâfar, nommé lundi ministre de la Santé, "a décidé de suspendre sa participation dans le gouvernement", a déclaré à l'AFP Abdellatif Abid, membre du bureau politique du parti. "Il n'a pas prêté serment, en attendant la fin de consultations avec le Premier ministre (Mohamed Ghannouchi), concernant des demandes du FDLT qui concernent la composition du cabinet", a ajouté Abdellatif Abid.
Il a ajouté que "ces consultations se tiennent en coordination avec l'UGTT" (Union générale des travailleurs tunisiens, syndicat unique) qui a décidé mardi de quitter le gouvernement dans lequel il avait trois représentants.

Ettajdid menace
Le parti d'opposition Ettajdid (ex-communiste) a, lui, menacé de quitter le nouveau gouvernement à moins que tous les ministres qui étaient membres de l'ancien parti au pouvoir ne démissionnent de cette formation. Dans un communique, Ettajdid (Renouveau) a exigé la démission de tous les ministres membres du RCD de cette formation.

Le parti d'opposition a aussi demandé le gel des biens du RCD, "parce qu'ils appartiennent au peuple" et la dissolution de "toutes les cellules professionnelles du RCD", implantées dans la quasi-totalité des entreprises du pays.
Si ces demandes ne sont pas satisfaites de "manière urgente", Ettajdid menace de "revoir sa participation au gouvernement".
Ces demandes sont en ligne avec l'annonce du Premier ministre Mohammed Ghannouchi de "séparation entre l'Etat et le RCD", selon le communiqué. Sous le régime de Ben Ali, le RCD se confondait pratiquement avec l'Etat.
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MessageSujet: Re: الثورة التونسية   الثورة التونسية I_icon_minitimeVen 21 Jan 2011, 21:29

Les secrets d'une révolution

Dans un dossier spécial de 30 pages, l’hebdomadaire panafricain décrypte tous les évènements qui ont changé le pays à jamais et expose les enjeux et périls de l’après-Ben Ali.

A travers des reportages dans différentes villes du pays et interviews des acteurs majeurs de la révolution tunisienne, Jeune Afrique :

-Retrace les moments clés des évènements qui ont secoué la Tunisie depuis le 17 décembre,
-Souligne pourquoi la prédation et la corruption ont enrayé la machine économique tunisienne et obligé des dizaines de milliers de diplômés à se réfugier dans l’informel,
- Révèle les dessous de la chute Ben Ali,
-Evalue la position des Chefs d’Etat au nord et au sud du Sahara face aux risques de contagion.

Jeune Afrique donne également la parole aux intellectuels tunisiens qui exposent leurs analyses et points de vue sur le sens de « la révolution de Jasmin », apporte un éclairage sur les partis et personnalité de l’opposition tunisienne, et montre comment la radio et la télévision se sont totalement affranchis de la tutelle du pouvoir.

La rédaction revient par ailleurs sur les relations entre l’hebdomadaire et Ben Ali au cours de ses 23 dernières années.

Enfin, dans son éditorial titré « Une nouvelle Tunisie », Béchir Ben Yahmed écrit que « les Tunisiens et Tunisiennes ont eu plus que leur dose d’humiliations, d’injustice et d’inégalités de chance. Le gouvernement qui leur apportera la démocratie dans le respect de l’Islam emportera leur adhésion ».
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